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La législation a limité ce délai à 48 heures à partir du moment où le médecin prescrit l’arrêt ou l’éventuelle prolongation d’arrêt. Notez que le salarié est tenu d’envoyer/remettre les documents en question dans ce délai précis tant à son employeur qu’à la caisse de son Assurance Maladie.
– S’il ne respecte pas ce délai de 48 heures imposé, le salarié risque de subir des sanctions plus ou moins sérieuses, en fonctions de la fréquence de l’omission et de l’éventuelle « récidive ».
– Dans le cas d’un premier retard : Le salarié est simplement averti par sa caisse d’Assurance Maladie du retard constaté et du risque de sanction.
– Dans le cas d’un nouvel envoi tardif : Le salarié s’expose au risque d’une sanction financière (réduction de 50% de ses indemnités journalières dues entre la date de prescription de l’arrêt de travail et la date de l’envoi tardif) dans les 2 ans qui suivent.
Notez que :
– L’employeur est en droit de licencier le salarié si ce dernier ne lui fait pas parvenir l’arrêt dans les mêmes délais
– Seule exception légalement « recevable » : le cas d’une hospitalisation
– Le salarié est en droit de prolonger son arrêt de travail s’il est muni d’une prescription correspondante soit du médecin qui vous a prescrit l’arrêt initial, soit de son médecin traitant.
– Le salarié est tenu de respecter rigoureusement les horaires de sorties indiqués sur son arrêt maladie, ainsi que de satisfaire aux contrôles du service médical imposées par sa caisse d’Assurance Maladie.
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