17074 --- Ils mettent en lumière l’existence d’une relation principal-agent entre une firme et ses créanciers ainsi que l’impact que cela peut avoir sur la structure du marché. Ils soulignent l’interaction entre la structure du marché du capital et la structure du marché des biens, ainsi que le fait que la structure de financement affecte non seulement les coûts de financement mais également la structure du marché des biens. La prédation intervient notamment dans la relation d’agence entre l
Ils mettent en lumière l’existence d’une relation principal-agent entre une firme et ses créanciers ainsi que l’impact que cela peut avoir sur la structure du marché.
Ils soulignent l’interaction entre la structure du marché du capital et la structure du marché des biens, ainsi que le fait que la structure de financement affecte non seulement les coûts de financement mais également la structure du marché des biens.
La prédation intervient notamment dans la relation d’agence entre la firme faible et ses créanciers.
Ce modèle permet de résoudre par un système de période le paradoxe inhérent à deux firmes concurrentes :
A l’issue de la première période, les deux firmes doivent effectuer un investissement pour être présentes aux périodes suivantes. Il faut supposer que la firme prédatrice (firme A) ne fait face à aucune contrainte financière tandis que la firme B ne dispose d’aucune richesse initiale et doit donc emprunter pour financer son investissement.
Comme la banque dispose de peu d’informations sur la santé financière de la firme B, l’emprunt comprend un surcoût qui accroît son montant.
L’entreprise A va pratiquer une politique de prix bas en première période de façon à ce que la firme B réalise peu de profits. A la fin de cette période, cette dernière sera donc dans l’obligation d’emprunter un montant élevé pour financer son investissement. Le coût de cet emprunt peut devenir si élevé que la firme B sera contrainte de renoncer à investir et sortira du marché.