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Les ajustements de normalisation les plus courants entrent dans les quatre catégories suivantes :
Les ajustements de comparabilité : L’évaluateur peut ajuster l’entreprise sujet des états financiers afin de faciliter une comparaison entre l’entreprise en question et d’autres entreprises du même secteur d’activité ou de même localisation géographique. Ces ajustements sont destinés à éliminer les différences entre les données publiées par l’industrie.
Les ajustements de non-exploitation : Il est raisonnable de supposer que si une entreprise a été vendue dans une transaction de vente hypothétique, qui est le principe sous-jacent de la juste valeur marchande standard, le vendeur conserve les actifs qui n’étaient pas liés à la production. C’est pour cette raison que les actifs hors exploitation, tels que l’excédent de trésorerie, sont habituellement éliminés du bilan par le chef d’entreprise.
Les ajustements non récurrents : Les états financiers d’une entreprise peuvent être affectés par des événements qui ne sont pas censés se reproduire, comme l’achat ou la vente d’actifs, une action en justice, ou un chiffre d’affaires exceptionnellement importantes ou des dépenses. Ces éléments non récurrents sont ajustés de manière que les états financiers refléteront les attentes de la direction de la performance future.
Les ajustements discrétionnaires : Les propriétaires d’entreprises peuvent être payés compte tenue des niveaux des salaires sur le même marché. En effet, la rémunération doit s’ajuster aux avantages sociaux et aux avantages indirects qui constituent des normes fixées par toute industrie.
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